@pemile
C’était en effet au début de l’épidémie.
En revanche, il n’avait pas encore précisé quel type de population était le
plus touché.
Très rapidement, les médecins ont confirmé que les personnes souffrant de
comorbidité et les personnes âgées étaient les plus à risque et les plus
touchées. En fait, ça n’a jamais été un fait nouveau, les personnes fragiles,
nous les connaissons. Et nous savons
aussi que plus elles se protègent, plus elles risquent de se fragiliser encore
plus. Les campagnes de prévention pour inciter à mieux manger, à bouger, à
faire du sport, à s’exposer au grand air. Tout cela nous a été interdit. Aux
personnes fragiles comme bien portantes. Et ça continue.
Beaucoup d’autres pneumopathies virales ou bactériennes laissent
des séquelles aussi graves ou non et jamais elles n’ont été autant étudiées que
celles générées par le sars cov2.
Avec ou sans COVID, les personnes fragiles ont les mêmes problèmes
d’orientation et neurologiques pour les plus âgées et pour d’autres comme les
personnes obèses, des difficultés respiratoires plutôt sévères. Entre autres.
Depuis plus de 6 mois, un virus est totalement diabolisé avec un délire
entretenu et ce que vous appelez une « discipline » rendue possible
par une politique infantilisante et coûteuse pour le citoyen. Il est impossible
de maintenir une population en bonne santé physique et mentale dans un tel
climat.