@Panoramix
Personne n’interdit à un diabétique de ne pas manger de sucre mais de l’éviter, idem pour les cardiaques et les efforts violents. Il y a quand même un sacré fossé entre imposer et recommander.
Là nous ne sommes pas du tout responsabilisés, nous sommes contraints à coup d’amendes, d’emprisonnements, de débarquements, d’évictions et de menaces.
Si j’en crois les propos des alarmistes, les restrictions ne feraient qu’amplifier l’épidémie. Puisque selon eux, cette dernière ne cesse de s’aggraver.
Alors qu’il s’agit tout simplement de la restrictions de nos libertés.
Comme la plus élémentaire, celle de choisir de nous maintenir en bonne santé.
L’anxiété, l’absence de contact, l’intrusion dans nos vies personnelles sont totalement délétères, plus nocives pour la santé que bien des maladies.
Aujourd’hui, pour rester vivant, il faut avoir peur, garder ses distances, et partager son intimité (téléphone perso à transmettre, fréquentations (les plus fragiles) à éviter sous peine d’être criminalisé, sortir avec une autorisation pour aller travailler à partir d’une certaine heure...
La liste des interdictions depuis mars est interminable. Et elles sont tellement humiliantes comme l’interdiction de s’assoir sur un banc, d’acheter moins de deux baguettes, d’aller dans les parcs, de sortir de chez soi au delà de 10 mètres...et tout ça en fonction des communes. Rappelez vous en mars, vendre des masques au grand public était interdit et aujourd’hui, il est obligatoire d’en acheter et de les porter en permanence.