Il y a une chose que je voudrais que l’on m’explique :
Toutes les décisions prises par ce gouvernemen à l’immense
potentiel de débiles mentaux, sont dictées par le simple comptage des
lits de réanimation, disponibles dans les hôpitaux, en corrélation avec
le nombre de contaminations et des lits occupés.
Jour après jours, on nous serine avec le « stress » qui se concrétise
dans l’occupation des services d’urgences, généré par cette « deuxième
vague » et le personnel médical fatigué ( parce que pas récupéré,,
encore de la première vague ) est limite.
Mais quand on regarde les chiffres :
250 lits sont disponibles en réa dans les cliniques privées d’Ile de France,
Grand Est et les régions les plus touchées .
ET plus de 4000 lits de réanimation et de soins intensifs sur le territoire national, au sein des cliniques privées.
( dixit Lamine Gharbi, président de la fédération hospitalière privée)
On continue malgré cela, le transfert des malades, par jet
médicalisés, ex : de saint Etienne à Bordeaux, tout comme lors de la
première « vague » ( vague qui à submergé cet état globe trotter, qui se
faisait publicité de transferts de patients en TGV, avions militaire,
et hôpital de campagne qui a mis plus de temps à se monter et à se
démonter que son propre temps d’utilisation en soins )
Et avec toute cette comédie, passée, l’état réitère l’enfumage des décomptes, parce que on ne veut pas prendre en compte les lits disponibles dans le privé !
Alors, c’est quoi ?
- Une incompétence ou un copinage de l’ARS sensé gérer les deux structures ?
- Une volonté délibéré de cet état de restreindre les disponibilités pour accentuer la sensation de crise et même la provoquer ?
- Une part de gâteau ( financier) que certains ne veulent pas partager, quoi qu’il en coûte ?
- Garder la stricte disponibilité du privé pour les futurs légumes du gouverneMENT en manque de gonflage à l’oxygène ?
J’aimerai comprendre, sincèrement, j’aimerai comprendre !