@Samson
Comme toute structure sociale reposant sur l’interdépendance hiérarchisée de ses membres, la nation cubaine peut être représentée par une pyramide dans laquelle richesse comme pauvreté se répartissent dans leur relativité, à partir d’une base inamovible – niveaux les plus peuplés – et un sommet – niveaux les moins peuplés – dont l’apex a pour seules limites l’appétit de ceux qui ambitionnent de l’occuper et les ressources dont ils tirent leur enrichissement.
La vie, sociale comme sous toute autre forme, s’y déroule comme ailleurs, sous la pression d’un environnement naturel, culturel, scientifique, géopolitique, etc. déterminé par la géographie mondiale.
Vous pourrez trouver à l’adresse ci-après quelques indications précisant ma réponse https://pyramidologiesociale.blogspot.com/2020/04/introduction-la-pyramidologie-sociale.html et je demeure à votre disposition si nécessaire.
À noter que le niveau zéro de la richesse (et non de la pauvreté comme vous l’écrivez probablement par erreur) existe inévitablement dans toute richesse allant d’un minimum (niveau zéro au-dessous duquel il est impossible de descendre) et un maximum, qu’il soit fixe ou variable. Cette notion est particulièrement importante (de mon point de vue) en ce qui concerne la conception et l’instauration du fameux revenu universel, par lequel pourrait être éradiquée la pauvreté profonde (les potagers cubains dont vous parlez ne pourraient-ils en être une forme ?)
. Plusieurs articles traitent de ce sujet particulier sur mon blog.