L’auteur passe sous silence la situation en Azerbaïdjan et se plaint (est-il
l’avocat de ce pays) de son absence des médias. La stratégie azérie consiste à
un choix de journalistes (qui lui sont « fidèles » ?) pour étaler ses
« victoires » dans la presse mondiale.
L’Azerbaidjan passe généralement par des sociétés de communication politique
grassement rémunérées qui, à leur tour « utilisent » des
« journalistes » qu’elles paient grassement. Ces derniers font le sale
boulot, en prenant soin de glisser de temps en temps de très légères critiques
dans leurs papiers, histoire de paraitre un minimum crédibles !
De l’autre côté, la façon dont le texte est tourné montre une origine « officielle
douteuse », une sorte d’ « éléments de langage » comme en
produisent tous les cabinets présidentiels et ministériels.
Quant à l’argument
de la « turcophonie » pour justifier le soutien turc alors là, on
rêve : imagine-t-on un seul instant le monde anglophone ou francophone s’unir ?!
Les massacres des Arméniens par les azéro-turco-djihadistes ne peuvent en aucun
cas être justifiées, mais l’auteur de l’article les mets de côté. S’agit-il
pour lui d’un détail de l’histoire ? Va savoir…
Enfin, la grande démocratie turque donne par ailleurs des leçons d’humanité
et d’humanisme au monde en imposant la volonté du sultan par les armes ; il a
avalé Aliev et tente tout simplement d’ « unifier » le
territoire de l’Empire ottoman qu’il rêve de faire renaitre.