Analyse très intéressante, mais le phénomène actuel n’est pas franco-français comme l’était la « rumeur d’Orléans », mais il touche avec plus ou moins d’intensité tous les pays impliqués dans l’OTAN. le foyer n’est pas la Chine, mais les Etats-Unis, et cette instrumentalisation sanitaire a deux objectifs : masquer la crise économique en en faisant un effet et non un cause de la soi-disant « pandémie », et déstabiliser le Président américain candidat à sa propre succession en lui envoyant des boulets dans les quilles. A la différence de la rumeur, manifestation d’un inconscient collectif, cette hystérie généralisée est le résultat d’une manip bien orchestrée.
Alors, on ne peut pas écrire :
« Apparemment seul le Président de la République détient ce pouvoir, soit en annonçant la fin de l’épidémie, ce qu’il se refuse à faire ou parce qu’il en est incapable s’il est lui-même délirant, ou encore en démissionnant pour confier les manettes du pouvoir à quelqu’un ayant conservé sa raison. »
Ce Président de la République-là ne fait que jouer la partition de son pupitre. Pour trouver un autre interprète qui refuse de rentrer dans la combine, il faudrait au minimum sortir de l’orchestre symphonique (d’ailleurs plutôt cacophonique).