« Les syndicats se bougent. Des grèves sont envisagées. »
Il y a encore trop de gens qui ne comprennent pas les tenants et les aboutissants de la situation actuelle.
La destruction progressive du système de santé français est une directive européenne (les fameux GOPE). Cette directive ne dit pas qu’il faut tout massacrer mais qu’il faut réduire les dépenses dans ce domaine, ce qui revient au même. C’est pourquoi on n’a pas augmenté le nombre de lits de réanimation ni embauché massivement du personnel soignant alors même que les autorités sanitaires annonçaient une nouvelle vague de la pandémie. Et n’en doutez pas : dès que ce sera possible (discret) le gouvernement va reprendre les suppressions de lits, les fermetures d’hôpitaux, les restrictions de budget, la diminution du nombre de praticiens.
Alors quand on voit râler tous ces gens qui ne sont pas ouvertement anti-européens (c’est le cas des syndicalistes), on se dit qu’il y a comme une contradiction dans leur comportement. On ne peut pas être à la fois européiste et se plaindre de la casse sociale en France.
Macron ne fait donc qu’appliquer avec zèle une directive européenne en détruisant peu à peu nos hôpitaux. Il va faire de même avec notre système des retraites (qu’il va céder à des fonds de pension américains), avec l’assurance chômage et — ça arrive ! ça arrive ! — notre système éducatif. Dans quelques mois, nos établissements scolaires seront en aussi mauvaise pente que nos hôpitaux.
Pour la même raison, il est inutile de s’indigner de la politique immigrationniste du régime si on ne s’affiche pas ouvertement anti-européen. Car en laissant nos portes grandes ouvertes à l’invasion migratoire massive et incontrôlée, en sachant très bien que de futurs terroristes font partie de cette foule, Macron ne fait qu’appliquer une directive de la Commission européenne, laquelle ne fait qu’appliquer un plan sioniste de destruction de nos anciennes civilisations européennes et de leur remplacement par le chaos. Nous sommes déjà bien avancés vers ce chaos, n’est-ce pas ?...
Quelqu’un voudrait-il nous rappeler cette pensée dont j’ai oublié l’auteur, qui commence par « Dieu se rit... et qui finit par ... dont ils chérissent les causes » ?