Je rejoins Geronimo howakhan...
Il y a eu un moment dans l’histoire de l’humanité où la pensée a pris le dessus sur nos autres facultés avec sa manifestation la plus nocive : la peur et plus précisément la peur de vivre et donc celle de mourir un jour, quand cela a-t-il commencé, à quelle catastrophe planétaire oubliée devons-nous cette déstructuration de l’esprit qui se manifeste aussi bien chez les manipulateurs que chez les manipulés ?
Néanmoins s’en tenir à cette question n’est pas le plus important, c’est semblable à ce guerrier qui ayant reçu une flèche, s’enquit de savoir de quel bois elle est faite, de quel oiseau provient l’empenne, etc. et qui mourut faute de soins,
La situation virale n’est pas nouvelle avec des statistiques qui fluctuent d’une année à l’autre, seulement des malfaisants pour des raisons fallacieuses ont décidés de monter de toute pièce cette histoire de (pseudo) pandémie, et même des gens instruits, même des pontes en médecine marchent dans la combine, par peur également ? Par peur tout court et/ou par peur de l’autorité, par complicité et intérêts, un peu tout ça sans doute, alors il est attendu que les gens suivent le mouvement, il y a des exceptions mais globalement le professeur, le directeur d’hôpital, le médecin référent, le politique, etc., tout ce monde chante la même chanson, nous allons tous y passer si on ne se masque pas, si on fait le bisou à papi mamie, si je cause avec mes voisins, si, si...
Seulement de quoi est faite la pensé, celle du professeur, du policier, du journaliste, de Macron, la mienne, la vôtre, elle ne peut exprimer que ce que chacun d’entre nous connaît et répète à l’envie, la pensée est itérative, récurrente, récursive, elle n’est qu’un processus, même celle des maîtres est ainsi, ils vont probablement aller au bout de leur logique sans percevoir qu’en détruisant la société humaine, ils vont se détruire par la même occasion, seulement l’esprit comme la mer n’oublie rien, le crime contre l’esprit est irrémissible, imprescriptible, seul l’esprit peut le guérir.
Qu’y a-t-il au delà de la pensée ? Ne tentons pas de répondre, ce n’est pas dans nos mémoires si ce n’est ce qui a été puisé dans d’autres mémoires.