@Djam
Où je vais ? J’en sais rien. Cette histoire de « Français de souche » est en ce moment servi à toutes les sauces, et souvent d’ailleurs ridiculisé.
Il y a trente ans, on rigolait quand on entendait les Africains nous dire qu’ils avaient du supporter d’entendre à l’école dire que leurs ancêtres étaient les gaulois.
Maintenant ces même gaulois sont montrés comme un mythe. Nous ne descendrions de rien, ne voulant discriminer personne, dans la peur d’être désignés comme clivant pour ceux qui sont venus d’ailleurs.
Les gaulois n’auraient jamais existé.....
On refonde l’histoire à mesure qu’on avance. Il faut reformuler l’homme d’hier dans la modernité d’aujourd’hui. J’ai entendu hier après midi sur France culture une archéologue, visiblement LGBT, dire benoitement que la femme des cavernes n’avait rien de la femme des années 50, et qu’elle ne balayait surement pas la grotte, comme celle ci l’avait fait de la maison. Elle s’est longuement penché sur le plus vieux champ de bataille d’Europe, en Allemagne, datant de 3 millénaires. Enormément de squelettes féminins. C’était pour elle un espoir. La femme des temps anciens aurait été une guerrière intrépide, comme dans un album de corto Maltesse...Las, il s’est avéré que des recherches plus poussées, aient révélé que les morts seraient le résultat d’une caravane massacrée dans un guet apens. Mais elle ne renonce pas à trouver les preuves qu’elle cherche, quitte à les faire entrer au forceps
Il y a comme un problème d’éthique, quand le chercheur veut faire coïncider l’histoire avec ses vues de militants. La méthode scientifique (Phylogénie d’une bataille et chainant manquant
Phylogénie d’une
https://bit.ly/2GCQSAT épidémie, femmes d’une épidémie, femmes dans la bataille et chaînon m