La rumeur a parlé de Watermarks, filigranes
impossibles à reproduire sans matériels d’imprimerie bien spécifiques,
qui, comme en balistique, laissent une trace permettant l’identification de l’imprimante, aux US ou ailleurs, mais également d’un marquage QLS blockchain inviolable, mis en place par la sécurité nationale, qui devrait permettre de retracer la vie, les trajets et tribulations de chaque bulletin officiellement émis, et par conséquent d’éliminer très surement les autres.
Quant à la partie « machines », le logiciel incriminé dans ce comté
du Michigan a été utilisé par 47 autres contés et sans doute dans
d’autres états, il va sans dire que partout, les vérifications seront
faites. Ces machines produisent, à chaque activation, une image
qui est stockée dans les disques durs et qui permettront également de
vérifier l’intégrité de chaque vote. S’il advenait que ces
images, pour une raison ou une autre, ne puissent être produites,
l’élection serait à recommencer dans l’État concerné, selon la
Constitution.
Les logiciels qui, d’après Sidney Powell, utilisent des algorithmes pour attribuer des votes en fonction du résultat escomptés, seront sans nul doute étudiés à la loupe par les personnes compétentes.
Les soldats digitaux, en rangs serrés, répondent à l’appel de l’équipe de Trump et rassemblent tous les commentaires, témoignages et vidéos présents sur la toile, et les plus pointus d’entre eux étudient les courbes de résultats à la loupe et démontrent les aberrations mathématiques.
La Cour Suprême a déjà ordonné aux responsables en Pennsylvanie de séparer et sécuriser les bulletins arrivés après la fin du délais,
la Géorgie a annoncé qu’elle recompterait tous les bulletins… dès
qu’elle aurait retrouvé les 8000+ bulletins militaires disparus.
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