Pour m’en
éloigner un peu, pour m’en libérer, j’ai rappelé ici mes interventions, sur
Agoravox, pour la désacralisation de la violence religieuse. En me relisant
j’ai constaté que ces interventions ne composent pas, comme dit dans l’article,
la presque totalité de mon petit essai édité en 2016 mais bien sa
totalité. Ma dernière contribution aux échanges commentant le quatrième article
reconstituant l’essai sur Agoravox est en effet la conclusion de cet essai : Neuf propositions pour sortir de la
violence religieuse.
Il y a une
quarantaine d’années, pour échapper au désespoir où me conduisait “mon”
christianisme (mais aussi “ma“ Gauche en politique) je me suis beaucoup investi
dans la pratique d’un art qui me passionnait depuis toujours. Depuis quelques
mois, suite à une grande déception sur la possibilité de le montrer, j’ai cessé
de le pratiquer. Après un nouveau constat d’échec, il est temps que je m’y
remette.
Mais, comme
je l’ai dit plus haut à Jean Keim, je ne veux pas croire au caractère définitif
de cet échec. Question de “principe de vie“. Je suis certain que d’autres, des
croyants chrétiens notamment, seront de plus en plus nombreux à exiger des
religions qu’elles se débarrassent du volet criminogène de leur théologie.
Une petite
erreur dans le présent article :
C’est
probablement par courriel et non par la Poste que j’ai écrit à Régis Debray. Si
je lui avais envoyé un courrier postal j’aurais joint mon petit essai et,
puisqu’il m’avait répondu, il m’en aurait donné son avis, ce qu’il n’a pas
fait.