Hier, sur Arte, dans 28« , un présentateur a énoncé comme si c’était une évidence :
»... la crise économique, conséquence de la pandémie...«
A force marteler des contrevérités, elles finissent pas devenir vraies pour l’assemblée des fidèles réunis dans la nef et répètent en chœur avec l’officiant : délivrez-nous du mal », convaincus d’être porteurs d’un virus qui a contaminé l’humanité entière après le « péché » d’Eve (la connaissance« , péché qui les rend impurs et possiblement malfaisants.
A force de dire que c’est l’épidémie qui a provoqué la »crise« on inocule dans les esprits l’idée, elle aussi serinée, que l’aggravation de la situation vint de l’irresponsabilité des contrevenants aux diktats et ausweis divers et on les enjoints à être »solidaires« , en particulier avec le gouvernement qui a décidé que toute autre version que celle de la messe était un délit punissable d’amende et/ou de prison ;
De la même manière, ce n’est pas la pandémie qui »s’invite« dans le débat, c’est l’appareil de propagande dominant qui transforme en fléau un épisode sanitaire aussi grave mais pas plus que le palu et Ebola qui n’ont jamais provoqué un tel remue-ménage.
Ce n’est pas la pandémie qui casse les codes. Les codes sont cassés par un groupe puissant de manipulateurs aux abois qui compte sur cet épisode pour se garantir une paix sociale, redistribuer certaines cartes (celles des PME, pas les leurs) et refroidir la cocotte-minute financière sous pression qui risquait d’exploser.
Le »plan de relance de l’UE" n’est rien d’autre qu’un plan Marshall des tiné à contraindre les partie prenantes à s’engager dans de relations contraignantes pour plusieurs générations. La Pologne, la Hongrie et la Slovaquie l’on bien compris. Mais ils ne font pas le poids, face aux globalistes atlantistes.