@Francis
En préambule je suis d’accord
avec votre 1er post-scriptum et c’est pour cela que je continue
cette discussion pour améliorer ma formulation. Je me permets simplement de suggérer
que vous vous appliquiez aussi votre propre remarque.
Quant à votre second
post-scriptum je vous laisse juge du « dérapage dans l’orgueil comme dans
l’insulte » entre « accumuler âneries sur âneries » et un simple
rappel que l’alcool doit toujours être consommé avec modération.
Plus sérieusement votre
position m’intéresse parce que je ne la comprends pas et que l’allégorie du
moteur ne m’a pas éclairé.
Revenons à l’allégorie
du moteur. Vous écrivez :
Puisque l’accumulateur
c’est l’argent selon vous. que le démarreur c’est la main d’œuvre selon
moi :
en écrivant que c’est l’accu (l’argent)
qui fait démarrer le moteur (la production),
vous niez le démarreur (la main d’œuvre).
Un accumulateur accumule
une énergie et un démarreur utilise cette énergie. Ce qui fait démarrer la
voiture c’est l’énergie électrique accumulée dans l’accumulateur et utilisée
par le démarreur. L’un sans l’autre ne marche pas et l’important est l’énergie
électrique qui permet le démarrage.
Je suis d’accord avec vous pour dire que l’énergie humaine physique (chiffrable
en joules) et cérébrale (non chiffrable en joules et qui dérange tous ceux qui
ne veulent chiffrer l’énergie qu’en joules) qui constitue la main d’œuvre est
le démarreur. Ce n’est pas le nier mais au contraire l’éclairer, que de dire
que l’argent est un accumulateur d’énergie humaine qu’une autre énergie humaine,
le travail, physique ou/et intellectuel, va utiliser pour être efficace.
Pour rester dans l’allégorie il ne faut pas oublier l’essence qui est une
troisième énergie qui est celle du client qui s’est transformée en argent et
qui va, uniquement par son échange avec la production, reconnaître l’efficacité
des deux énergies humaines qui l’ont fabriquée, celle accumulée dans l’argent
et celle qui a créé le produit.
Si vous continuez à y voir
une contradiction, ou une quelconque inversion entre le propre et le figuré ou
entre l’allégorie et la réalité, ayez la gentillesse de me la signaler.
Nous ne sortirons pas de l’évidence qu’il faut avoir chargé des accus avanbt de pouvoir s’en servir, ce que notre société a complètement oublié. Vous me dîtes que c’est compliqué. Je ne le nie pas mais c’est comme ça et les sociétés vivaient comme une famille avant l’invention de l’argent et ce n’était évidemment pas le troc.