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Commentaire de Adèle Coupechoux

sur Covid-19 : le quotidien d'un professeur de collège


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Adèle Coupechoux 16 décembre 2020 19:22

La psychose, il n’est plus possible de la nier avec tous les TOC dont est atteinte la population.

Beaucoup sont persuadés qu’ils vont tuer s’ils « baissent leur garde » (sic)

D’autres, s’ils ont le COVID, qu’ils auront au moins des séquelles dans le meilleur des cas.

Pour ce qui concerne la bouffée délirante, je la trouve de plus en plus crédible.

Comme je suis entourée de professionnels de la santé, je leur demande quand ils comptent arrêter définitivement tout ce cirque, ce saccage de nos civilisations, parce que quand même, ils sont en train de rendre malade toute la population avec leurs mesures qui nient ce qui a été jusqu’à présent préconisé en santé.

Comme réponse, chacun y va de sa « petite expérience ». La dernière :

Lui : « Enfin, il y en a qui font vraiment n’importe quoi, surtout les jeunes ». 

Moi : « c’est-à-dire ? »

Lui : « Ben ouais, j’étais dans le bus, y en a un qui a retiré son masque pour éternuer, tu te rends compte ! »

Moi : « Oui, c’est normal, si j’avais eu une écharpe, j’aurai d’abord sorti un mouchoir tout en baissant mon écharpe pour pouvoir éternuer »

Lui : « Justement, le masque, c’est pour le garder »

Moi : « C’est quand même dégueulasse, non ? »

Lui : « Oui, mais ça vaut mieux que de contaminer les autres, d’ailleurs, il aurait dû descendre du bus pour éternuer »

J’adhère bien sûr à ces deux points de vue, concernant la psychose et la bouffée délirante.

En revanche, je reste persuadée qu’il y a en plus :

  • des effets d’aubaines pour les lobbies pharmaceutiques,
  • des intérêts financiers énormes en jeu, 
  • une incompétence totale de la gestion de cette crise par les politiques et certains professionnels de la santé,
  • une malveillance sans borne des médias pour profiter de cette situation sans en être impactés
  • et enfin, un premier entêtement à ne pas vouloir reconnaître les erreurs commises et un second entêtement à persévérer dans l’erreur pour se persuader qu’il n’y avait pas d’autres solutions.

Le tout, avec « solidarité » entre l’ensemble de ces protagonistes pour se serrer les coudes.


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