Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas.
Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les
investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce
refus après avoir informé le malade de ses conséquences.
Si le malade est hors d’état d’exprimer sa volonté, le médecin ne peut
intervenir sans que la personne de confiance, à défaut, la famille ou un
de ses proches ait été prévenu et informé, sauf urgence ou
impossibilité.
Les obligations du médecin à l’égard du patient lorsque celui-ci est un
mineur ou un majeur protégé sont définies à l’article R. 4127-42.
Juste un petit rappel à l’attention des benêts qui s’inquiètent de ce que pensent l’Europe et le monde de la France.
« Un geste médical basique en fait à la portée de n’importe qui. »
Un geste médical n’est jamais basique, c’est pourquoi il ne peut pas être fait par n’importe qui. Vous accepteriez de vous faire vacciner par un éboueur au chômage dans votre « vaccinodrome », vous ? Heureusement qu’on n’est pas (pas encore) gouvernés par des dingos comme vous !
Question subsidiaire : combien ont coûté les vaccins contre le H1N1 plus celui des doses de Remdesivir ?