@Eric F
« la maladie est devenue quasiment endémique ... donc avec la stratégie actuelle on va avoir des restrictions endémiques »
Il faut donc des dispositions pour permettre aux secteurs qui ne peuvent plus accueillir de clients ou spectateurs d’exercer leur activité sous une autre forme, car l’indemnisation de non-activité ne peut pas être pérenne, des milliards y ont déjà été consacrés sans retombée sur l’économie.
Concernant la restauration, la vente de plats cuisinés à emporter, mentionnée dans l’article, est la seule alternative (la livraison ne peut être que marginale), il faut donc la faciliter y compris en période de confinement ou couvre-feu. Cela peut se faire sur rendez-vous (heure de disponibilité de la commande) pour éviter l’affluence.
Concernant les salles de cinéma, théâtres, concerts où les spectateurs sont assis avec port du masque, il n’y a aucune raison de les laisser fermées, en laissant une rangée sur deux libre et une place vide entre chaque groupe, avec réservation à l’avance pour éviter les files d’attente et l’affluence aux abords.
Concernant les autres « spectacles vivants », une obligation pourrait être faite à chaque chaine de TV et radio de diffuser en direct un spectacle à un horaire de grande écoute au moins une fois par semaine. De même la musique d’accompagnement des pubs devrait être un musicien ou groupe français, avec versement de redevance à la sacem (sinon taxation de co-responsabilité).