@JC_Lavau
Bonjour Lavau j’ai besoin d’un éclairage.
Au sujet des rejets de CO2 en diminution sur l’année 2020
liés au COVID ; Sur le site de la NOAA à Mauna Loa pacifique, .on voit
bien la diminution observée de juillet 417.00ppm à octobre 2020 410ppm, puis
une remontée vers 416 ppm.
Avant les années 70 très peu de chercheurs s’intéressaient à
ce problème. Les premières mesures datent de 1958. L’observatoire de Mauna Loa
est connu pour ses mesures sur le CO2, qui sont effectuées à l’altitude de 3400
m. Les résultats présentés par la NOAA proviennent principalement de cet
observatoire. Il est situé aux États-Unis, dans le sud-ouest de l’île d’Hawaï
(Big Island), la plus grande de l’archipel et État d’Hawai.
Est-ce représentatif de l’ensemble de la troposphère ? Non
mais je suppose que c’est une convention….
L’atmosphère tout au
moins la troposphère est une zone très hétérogène, dans laquelle les masses d’air
chaudes et froides ne se mélangent pas et sont soumises aux effets de la
rotation (forces de Coriolis) lesquelles varient entre pôles et équateur.
On ne connait que très
partiellement les valeurs réelles des échanges entre les éléments rejets et
réabsorption par les puits de CO2. (Industrie, nature, océans, volcanismes,
faune et flore). Des tableaux existent
sur certains sites et dans les rapports GIEC, mais les valeurs relevées ne sont que des valeurs extrapolées par
calculs bruts. Impossibles à vérifier dans la réalité.
Pour apprécier réellement
ces échanges il faudrait disposer de
milliers de capteurs, situés sur toute la surface de la terre et a plusieurs
étages de la troposphère. On est loin de ce cas. Il y a certainement une différence
sensible entre les calculs de labo et la réalité.