Cela fait plus de 6 mois que des chercheurs Français** ,s’appuyant
sur des brevets français, essayent en vain d’attirer l’attention des
autorités sanitaires et du conseil scientifique sur le rôle
de certaines bactéries intracellulaires agissant de concert avec le
virus de la Covid 19 pour amplifier, dès le début de l’infection, la
réplication du virus :
« une association de malfaiteurs agissant en bande organisée » qui a complètement échappé au conseil scientifique et dont la complicité dans l’exacerbation des
complications a été remarquablement décrite par ces chercheurs lors d’une enquête à charge
accumulant un faisceau de preuves impliquant leur responsabilité et
expliquant l’action « surprenante » (termes employés par D Raoult) de
l’AZM (cf publications envoyées à ce conseil, au ministère de la santé, à
l’académie de médecine, à l’académie des sciences et
à l’OMS).
Seuls les médecins de ville étaient à même de traiter dès les premiers symptômes avec AZM+Zn.
Si les autorités sanitaires n’avaient pas fait cette erreur ils
auraient continué à prescrire ce qu’ils ont toujours prescrit dans les pneumopathies atypiques (Macrolides +Zn ), ce qui aurait permis :
- non seulement d’éviter le risque de toxicité de l’association HCQ+AZM.
- non seulement de diminuer le potentiel contaminant des sujets
testés positifs freinant ainsi la propagation du virus et la saturation
des réanimations.
- non seulement de diminuer les complications et donc les hospitalisations.
- non seulement de diminuer les passages en réa et les décès
(permettant donc de traiter les autres pathologies et de diminuer les
morts d’autres maladies liées aux saturations des salles de
réa).
- non seulement d’éviter les confinements et autres mesures
dramatiques pour l’économie et pour la crise sociale engendrée par ces
mesures
Mais surtout d’éviter les conséquences sur les pathologies secondaires
et sur la mortalité de ces autres pathologies dont les effets ne sont pas encore mesurables.
Conclusion :
entre la position officielle qui consiste à affirmer que les preuves
de l’efficacité de l’HCQ sont insuffisantes (d’autant plus vrai qu’elle
est testée seule ou que la bi-thérapie HCQ+AZM n’est
testée qu’en milieu hospitalier à un stade où la phase virale ne
peut plus être freinée, et non au tout début, phase virale où seuls les médecins de ville
peuvent agir efficacement) et qui répètent à longueur
d’antenne qu’il n’y a pas de traitement,et la position du duo
Raoult/Perronne qui s’obstine a mettre en avant l’HCQ, sans approfondir
l’efficacité des macrolides (AZM ou clarithromycine), il y a a un
juste milieu qui pourrait être une porte de sortie des autorités
sanitaires dans cette crise.
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