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L’auteur de l’article aborde la question de « la lecture » en Algérie et non celle de son histoire. Et sur ce sujet bien précis , l’auteur a mille fois fois. Pour preuve cette article qui déjà en 2017 , tiré un signal d’alarme. Ce n’est pas en se crevant les yeux , et en insultant l’auteur que l’on fait avancer « la lecture »en l’Algérie.
« Quel place accorde-t-on pour la lecture en Algérie » avait écrit le neuropsychologue clinicien Yazid Haddar , dans « La voix d’Algérie » le 27 mai 2017. ( extraits )
<< Le danger guette la société ! L’étau se resserre pour les libraires, même s’il existe une volonté affichée pour répandre le livre dans notre société, les lecteurs, eux , désertent les lieux. Ils sont de plus en plus réduits et concentrés dans les grandes agglomérations. Ceci dit la question de « la lecture » est fondamentale pour construire une nation qui se base sur le savoir et non pas sur la transmission orale uniquement , certes , les deux sont complémentaires , néanmoins ,la chaîne de transmission orale risque de s’interrompre, ce n’est pas le cas de l’écrit.
L’écrit demande la connaissance , de l’analyse , des capacités cognitives , de la maîtrise de la langue etc., ainsi la lecture ce n’est pas un acte inactif , au contraire. Il est un acte actif tout au long de notre vie( ...)
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Mes souvenirs d’école me mènent à dire, que c’est rare un enseignant d’école ou de l’université m’avait conseillé de « lire un ouvrage » . Même au lycée , je n’ai pas eu l’occasion d’avoir une lecture obligatoire ,comme les résumés des « livres » ou autres. Seulement les ouvrages de l’école ,qui sont souvent studieux et difficiles d’y accéder ( ... ) fin de citation.