@ vesjem
Des styles, j’en ai d’ailleurs plusieurs — à mon modeste niveau —, que j’utilise selon les circonstances et le public. 
Celui-ci, par exemple :
J’avais bien tactilé dans l’encaquement de l’urbatrain que mon coquin s’était armaturé la machinerie façon Bouygues. Forcément, ça m’avait chaviré les circuits et encanaillé le tréfonds. A peine encasbahutés dans notre achélem, je lui déverrouille le carter à roubignolles et, d’une palpeuse fébrile, je lui dégage le derrick. En bonne native de La Turlurette (Nièvre), je lui pompe le loukoum d’une becteuse gourmande. Soudain l’or blanc jaillit, aromatisé chouchen et coco. Tandis que je gastronome l’éjaculat, mon coquin me brancarde dans la galipetterie, m’horizontale sur la cramouillo-berlue et entreprend de me déconditionner. Dès que je suis apoilée, il me manocajole la laiterie, me patamodèle les amortisseurs et me bascopelote l’intérieur des bielles d’un expert paluchat. Puis il se penche sur mon atelier clandestin, avionrenifle dans le maquis et, d’une râpeuse avide, me gargamelle la commande centralisée. Je surtensionne. J’inondationne mes infrastructures. Je béante mes écoutilles. Mon coquin, l’obélisque abou-simbelisée un max, se porte alors sur ma grotte. Là, il m’agace la brèche, me titille l’érecto-jouisseur, puis me boustérise l’engin dans la fosse. Le Michel-Ange du radada existe, je l’ai rencontré !