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Mais
ce n’est pas tout : “Même après avoir éliminé les cas survenus dans les
7 jours suivant la vaccination (409 sur le vaccin Pfizer contre 287 sur
le placebo), ce qui devrait inclure la plupart des symptômes dus à la
réactogénicité du vaccin (l’efficacité.
ndlr) à court terme, celle-ci reste faible et atteint 29%. Les seules
données fiables – dit Doshi – pour comprendre la capacité réelle de ces
vaccins, sont les cas d’hospitalisation, les patients en soins intensifs
et les décès.
Il
est évident qu’à partir de ces considérations, il serait nécessaire de
mener des enquêtes plus approfondies. Le rapport de 92 pages de Pfizer,
par exemple, ne fait aucune mention des 3410 cas de : “suspicion de
Covid-19″, ni de leur publication dans le New England Journal of
Medicine, ni des rapports de Moderna sur les vaccins. La seule source
qui semble les avoir signalé est l’étude de la Food and Drug
Administration sur le vaccin de Pfizer”. “Il est nécessaire de
comprendre la véritable efficacité des données brutes”, déclare M.
Doshi, “mais aucune entreprise ne semble les avoir partagées. Pfizer dit
qu’il met les données à disposition sur demande mais que celles-ci sont
encore soumises à examen, et Moderna dit que ses données pourraient
être disponibles, toujours sur demande, une fois l’étude terminée”.
Ce
qui nous ramène à la fin de l’année 2022 puisque le contrôle nécessite
deux ans. Il en va de même pour le vaccin Oxford/AstraZeneca, qui
publiera ses données à la fin de sa propre étude de viabilité.