Doit-on forcément imaginer les causes quand on constate ?

Le constat ne doit pas être qualifié, c’est une opinion.

Personne ne peut nier que début mars 2020, sur les télés et radios « populaires », on ne parlait que de Covid : on a trouvé un cas à Toulouse ; deux heures plus tard : un cas à Limoges...On avait des tests ? Vous aviez de votre vie déjà entendu ça ?

Alors, il y a deux types d’humains, de citoyens : ceux qui constatant cela s’étonnent, cherchent à savoir, fouillent... et trouvent des tas de choses intéressantes ; et ceux qui entendent, et font ce qu’on leur dit. Ils ne s’étonnent pas de l’incongruité de la situation, des contradictions, des hésitations, des rebonds, des artifices.. ; les autres continuent leurs investigations.

Quand le gouvernement, chez nous, avant ailleurs, aux USA, en Italie en tout cas, a compris, c’était en 2007 avec Sarkozy, que ce qui liait le gouvernement ( élu !) aux électeurs, n’était que moral, morale, et que la morale commençait à être jetée aux oubliettes au profit du culot pour le profit, ça en a été fini. Le mensonge fut toléré, parce que le peuple n’y pouvait rien : ce qui fait rougir celui qui est pris à mentir, à trahir, c’est la morale ; quand il n’y en a plus...

Mais les deuxièmes de ma courte liste, ceux qui écoutent et obéissent, ne se sont pas rendus compte qu’aucune confiance n’est possible avec un gouvernement qu’aucun contrat ne lie au peuple.

C’est le constat ; le reste, on brode, on se conforte.

Je me suis fait mon schéma logique, très plausible ; d’autres s’en sont fait un autre.,

Maintenant, face au constat, qu’il faut préciser méticuleusement, il nous faut agir.

Sinon, on va tous crever ; ça ne sera pas forcément les tranchées, pas forcément la faim ou le choléra, on ne pourra pas, pendant ce temps là faire face à une explosion nucléaire par exemple, mais pour certains, ce sera mourir de consomption, de chagrin, de désespoir