C’était pourtant prévisible en 1985. J’ai lu hier un excellent article faisant le lien entre néo-libéralisme et nazisme en passant pas Sade. Dans les deux cas il s’agit de réduire l’autre, l’humain à l’état de fétiche, d’objet, de néant. Si les parents ont malgré tout voulu faire des enfants dans ce monde là. Ils en portent un peu la responsabilité. Rien que par leur déni. Le nombre de pervers-narcissiques produit par cette société augmente de manière exponentielle. Des femmes confinées avec leur « mari » gendre idéal (polar de Mary Higgins Clark) appellent en permanence les service : femme harcelées, sous emprise ou battues. Parfois avec enfants. Jean-Pierre Lebrun. un immonde sans limite de Jean-Pierre Libre. Comme dans la fable de Hamelin. On a pas voulu écouter les psychologues quand ils expliquaient que pour qu’un enfant soit heureux, ils fallait une mère et un père (foutaises, conneries,....). Nous courons vers notre fin. Dans le fond, il y a une certaine éthique. Comme on fait son lit, on se couche. Et les enfants trinquent...... MALIN......Maintenant est le venu le temps de payer la note.... Quarante années depuis 1981. Election de Mythe errant....... On finira par se rendre compte de la perversité de WALT DISNEY...Partie juste avec l’arrivée du Covid. Son dernier roman prémonitoire : En 2019, elle publie ce qui sera son dernier roman Kiss the Girls and Make Them Cry qui a pour thème l’enquête d’un journaliste sur le harcèlement sexuel pratiqué dans une chaîne de télévision1