Cherche adaptateur et metteur en scène.
« L’heure de vérité est un roman plutôt banal. Certes, il est bien construit et rédigé de
manière plaisante, mais son intrigue manque de consistance. On est bien loin
des thrillers du genre qui tiennent le lecteur en haleine et sont porteurs de
révélations sulfureuses sur le personnel politique, la conduite des affaires,
ou bien encore la collusion avec les puissances financières. »
N’ayant pas lu le livre je ne puis dire si vous êtes sévère sur la qualité du roman Fergus.
Par contre,
votre recension tombe à pic pour nous aérer l’esprit dans cette ambiance qui
monte de petits enfumages à l’essai, rodage d’intoxications diverses,
faux-débats pour gogos…
Vous nous
régalez des meilleurs morceaux en esquissant en fait les temps forts d’une
pièce de théâtre à monter.
Il y a une
partie des dialogues qui est déjà écrite.
Je crois que
l’on pourrait traiter l’affaire dans l’esprit de Georges Courteline ou alors plus
moderne dans celui de Jean-Miclel Ribes dans « Palace ».
Il faut
reconnaître que dans la vraie vie, ces dernières années, nous n’avons pas
manqué de modèles d’inspiration.
Par les
temps qui courent rire encore plus nous ferait du bien. Vous nous avez déjà
fait du bien.
Et puis dire
les quatre vérités de ceux qui nous bercent et nous bernent quant à la conduite
des affaires du pays, ma foi, c’est bon pour la santé non ?
Par
ailleurs, votre récit a tout d’une leçon d’instruction civique l’ennui en
moins.
Faut-il
évoquer Guy Debord et sa société du spectacle ? Nos politiques le font eux-mêmes
si bien à l’insu de leur plein gré.
Bravo et merci