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Commentaire de Passante

sur L'ivresse du pouvoir des juges et des services sociaux


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Passante Passante 27 février 2021 13:04

et donc venons-en à cet échiquier,

je vais juste vous dire ce que je vois..

mais avant, simple conseil :

quand vous tombez entre les mains des autorités,

le mieux est d’avoir pour horizon la souplesse du brin d’herbe,

surtout pas gigoter, inutile ça joue contre vous,

mais dans votre cas c’est difficile

j’ai l’idée que si vous pouviez faire face à la juge sans aucune inquiétude

mais juste avec votre rationalité vous obtiendriez ce que vous voulez

votre simple inquiétude suffit à la séparation... ?

mais retour à l’échiquier :

-y’a les juges (c’est le roi, la décision finale)

-y’a les psys (c’est la dame, la décision qui pèse)

déjà vous jouez sans dame, aucune chance d’y arriver,

votre évitement des psys est à interroger,

et en plus c’est votre mère qui a récupéré la dame,

c’est elle qui parle aux psys, c’est vous qui choisissez le silence,

mais qui vous fait taire ? et quelle peur éventuellement ?

tout commence bien par un problème plus ou moins psy

la clef devient : qu’est-ce qui a changé par rapport à ça,

mais ce changement ne trouvera ses effets que dans l’échange avec les psys,

pas seulement des psys chargés de votre fils, mais des psys en général , des centres médico-psys etc.

le jour où le psy dira simplement :

le problème de départ, le problème à l’origine, a été repéré, et se trouve désormais dépassé pour telle et telle raisons, alors la juge doit plier devant votre responsabilité de votre enfant

tant que vous ne traversez pas le mur des psys,

votre responsabilité sera interrogeable...

j’ai pas idée du fonctionnement exact de toutes ces institutions, je peux me planter royal, sauf sur un point : c’est votre parole, libérée et tranquille, qui sortira votre enfant.

libérée de quoi ? du problème de la répétition dans laquelle on est tous pris, c’est pas votre première séparation difficile, idem dans la génération de vos parents, et je parie encore sur la génération au-dessus, ce qui représente de grandes forces, mais tout cela est susceptible d’être compris et dépassé

et attention je dis « parole », c’est des choses privées, c’est d’abord parler à soi, donc ça n’a rien à voir avec « faire du bruit » médiatiquement, car encore une fois en termes de responsabilité la question reviendrait toujours sur la table :

qu’est-ce qui a changé par rapport à la situation de départ...

si ce changement est la clef qui ouvre la porte,

alors prenez en main ce changement, et ne laissez plus un psy dormir.


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