@I.A. oui, absolument. En revanche quand il s’agit d’ondes artificielles, ce sont généralement des ondes pulsées, ce qui est bien plus néfaste à puissance égale que des ondes régulées comme le courant électrique normal. Les pulsations engendrent des chocs : c’est bien pourquoi, quand en 2000 les spécialistes indépendants du monde entier se sont réunis à Salzbourg, ils ont défini une norme « raisonnable » pour ce genre d’ondes, incluant les effets non-thermiques : c’est tout simplement mille fois moins que la norme officielle européenne, et singulièrement française.
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Beaucoup d’autres pays se sont astreints à bien moins. En France en revanche, et par ricochet dans les normes maxi de l’union européenne, on a défini que seuls les effets thermiques sont à prendre en compte, merci la direction d’Orange qui à l’époque s’appelait Thierry Breton. On sait quel rôle il joue aujourd’hui. J’ai eu l’occasion d’assister à une conférence d’une « spécialiste », co-auteur de la norme, pour qui seul comptait le thermique parce que les autres effets dépendent du métabolisme de chacun, et ne sont donc pas réductibles à un « standard ». J’ai pu lui parler un peu, et elle défendait mordicus son modèle tellement plus prévisible. En revanche, une dame, médecin spécialiste de terrain, déplorait cet aveuglement.
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Doit-on miser sur les aspects positifs des mutations ? Suivant scrupuleusement les informations au compte-goutte résultant des études sur les habitants déplacés de Tchernobyl ou Fukushima depuis 2011, je suis inquiet. Quant à ce qui pourrait être intéressant concernant le voisinage de la catastrophe de 1957 au centre d’étude de Maïak (juste un peu a nord du Kazakhstan), échelon 6, on peut dire que rien ne filtre. Je pense d’ailleurs que la plupart des gens n’en ont JAMAIS entendu parler.