Que les inuits disent qu’il y a plus d’ours qu’avant c’est possible, la réglementation de la chasse à l’ours ne doit pas y être étrangère non plus.
Ce que voient ces inuits qu’est-ce que ça représente par rapport au territoire de l’ours ? Quand on regarde le réchauffement dans l’arctique il y a des zones plus chaudes et des zones plus froides, ce n’est pas uniforme. Vu que ça de réchauffe pas mal au sud de la mer de Beaufort, ça ne doit pas être folichon pour les ours au contraire des 3 dernières années dans la baie d’Hudson.
Le nombre d’ours c’est en fonction du territoire de chasse et du gibier.
Le territoire de chasse c’est la banquise et le gibier c’est en général le phoque.
Si le territoire augmente c’est tant mieux pour les ours, s’il diminue c’est tant pis et s’il y en a plus, les ours n’auront plus de problème car il y en aura plus.
Le territoire des ours est trop étendu pour pouvoir les recenser, dans l’article on parle de suivi satellitaire mais c’est pour ceux qui ont un collier.
Il y a aussi les inuits, c’est un peu comme généraliser la prédation du loup en se basant sur l’expérience charantaise.
Je m’en tiens à la surface de la banquise le territoire de chasse de l’ours.
Déjà avec l’industrie du tabac on connait la stratégie, en 52 il est prouvé que le tabac est nocif, depuis l’industrie du tabac a sponsorisé des études pour diluer cette info, ce fait. Ca même été jusqu’à des études du cancer du poumon des lapins qui généralement ne fume pas.
Donc la recette c’est sponsoriser des études qui vont dévier le regard.
Pour le réchauffement je préfère les mesures de température des satellites que de compter des ours blancs incomptables.