J’étudie cet impasse depuis maintenant quelques années, mais contrairement au début, je ne crois plus à un aveuglement des élites dirigeantes.
Ceux-ci savent que le mur se rapproche, sinon pourquoi ils imposeraient de plus en plus de mesures liberticides en lieu et place de ce qui permettait jusqu’à présent d’acheter la paix sociale.
De même, l’année écoulé a prouvé que le système pouvait fort bien se maintenir malgré une décroissance de la consommation et de la production. L’écroulement de l’économie réelle n’a pas empêcher l’économie virtuelle et les casinos boursiers de battre des records grâce aux capacités d’impression monétaire quasi-illimité des banques centrales.
Ceux qui pensaient que la soif de liberté et du désir était bien trop précieuse et encré pour que l’homo economicus puissent envisager le délestage de ses vaches sacrés ont pu contempler le consentement improbable de la privation et des habitudes induit par un simple élément pathogène.
Cela prouve que si l’approche de la crête nécessite un néo-féodalisme malgré les deuils et le sacrifice des principes qui vont avec, ils le mettront en place sans hésiter.