Commentaire de Séraphin Lampion
sur L'effacement des dettes a déjà commencé (mais il ne faut pas le dire)
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Il n’y a pas « effacement », mais « transfert » des dettes.
Comment voulez-vous qu’un créancier privé accepte de renoncer à ce qui est sa raison d’être ?
Or, les créanciers des états sont les « marchés », euphémisme masquant l’identité des banquiers privés qui tiennent ce même rôle depuis le moyen-âge (Jacques Coeur et Saint Eloi étaient des précurseurs : ils ont remplacé les ordres financiers comme celui es templiers qui étaient plus puissants que les états eux-mêmes et ont été écrasés pour cette raison. Les financiers « modernes », eux, font dans la discrétion et le lobbying. Il ne s’impliquent pas. Ils se contentent de ramasser les jetons sur le tapis vert.
Derniers commentaires
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22/03 21:13 - Luniterre
Comme le formule si bien l’auteur : « L’action des banquiers centraux, arbitraire (...)
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22/03 09:42 - L’apostilleur
@Legestr glaz « ...L’effacement des dettes se traduira, pour le créancier, pour une « (...)
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19/03 20:03 - Le421... Résistant
Il ne faut pas le dire... Ben, c’est normal. Faudrait pas que les gens pensent (...)
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19/03 19:30 - Legestr glaz
@Pcastor La Suisse, par exemple, à un taux d’endettement par rapport à son PIB de 35%. (...)
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19/03 19:30 - Octave Lebel
Comme quoi on peut parler de dette et de démocratie tranquillement sans caricature ni posture (...)
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19/03 12:36 - Odin
@Clocel Bonjour, « une dette, ce n’est pas fait pour être remboursée mais pour mettre (...)
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