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Commentaire de Christophe Claudel

sur Les origines du SARS-CoV-2 : la piste d'un double gain de fonction


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Christophe Claudel Christophe Claudel 23 mars 2021 10:44

La théorie de la transmission « zoonose » du coronavirus (de l’animal à l’humain) est un classique de la littérature scientifique s’agissant des nouvelles épidémies. Mais qui fait rarement l’unanimité des chercheurs. Pour ce qui est du Covid, elle pourrait venir s’ajouter aux œuvres de La Fontaine sous le titre d’une nouvelle fable intitulée « Le pangolin, la chauve-souris et le petit Mandarin ». Une farce tellement échevelée, digne des pires machins complotistes, que plus aucun scientifique sérieux n’ose aujourd’hui l’évoquer, de peur de se ridiculiser.

Plus personne en effet dans le milieu scientifique comme dans les médias ne se risque depuis bientôt un an à évoquer le sujet et à spéculer sur l’origine de ce virus mystérieux, pourtant observé sous toutes les coutures et disséqué en menus morceaux depuis son apparition en Chine à l’été 2019. Un sujet devenu très vite un tabou dans tous les médias mainstream, dès l’extension « pandémique » du virus hors des frontières de la province de Wuhan fin 2019. Silence radio, mieux valait assommer le grand public de commentaires alarmistes en diffusant en boucle les images de Wuhan en état de siège. Et ce bien que le sujet soulève de nombreuses questions à propos de cette grippe dont la cause était unanimement présentée comme un nouveau virus transmis à homme par un innocent fourmiller dont la viande est couramment consommée en Chine. Une grippe présentant dans ses formes les plus graves des symptômes respiratoires sévères et aussitôt transformée en pandémie du siècle.

 

D’un coronavirus somme toute banal, on est ainsi passé à un « paranovirus », dont le mode de contamination n’était plus les mains mal lavées ou l’air ambiant (encore une fable…) mais les médias entrés en éruption sismique. Un scénario de psychose mondiale provoqué à dessein par quelques lobbies qui y avaient intérêt. Une reproduction en grandeur XXL et en beaucoup plus dramatique de celui qu’on nous avait déjà servi en 2009 lors de l’apparition d’un foyer de grippe H1N1 au Mexique. Un virus qui avait immédiatement enflammé les esprits et les écrans plus que les thermomètres, et ce durant près d’un an. Assurant au passage à Gilead Science (déjà...) la vente très profitable aux gouvernements affolés de la planète de milliards d’unités de vaccin et de Tamiflu, tous aussi inutiles, toxiques et inefficaces que le remdésivir que le même labo a tenté de nous refourguer en 2020 en corrompant au passage les plus grands scientifiques, les gouvernements, les agences de santé et le Lancet, pour couler son principal concurrent l’hydroxychloroquine ! 100 millions de doses de vaccin furent ainsi achetée en 2010 par le gouvernement de Nicolas Sarkozy, lesquelles finirent quasiment toutes à la poubelle, non sans avoir coûté au passage près d’un milliard d’euros au contribuable français.

Même scénario avec le Covid-19 et les petits arrangements entre Macron et ses généreux mécènes pharmaceutiques. Sauf que cette fois le jackpot a fait exploser la banque, la dette de la France, plusieurs secteurs économiques, et la tête des Français.

Mais revenons à la fable du pangolin...

Depuis 2019, les preuves se sont tellement accumulées pour étayer l’hypothèse troublante d’un virus créé artificiellement par l’homme en laboratoire par manipulations génétiques, que même les épidémiologistes et les « experts » autoproclamés les plus corrompus habitués des plateaux télé sont aujourd’hui à court d’arguments sérieux pour étayer la thèse initiale du pangolin. Un pangolin qui figurait pourtant en bonne place sur la couverture du magazine britannique (détenu par les Rothschild) The Economist, dont le très attendu hors-série annuel consacré à l’année suivant mettait en scène fin 2018 et pour l’année 2019 un étrange pangolin glissé au milieu d’autres symboles tout aussi étranges : fragment d’ADN, smartphone (5G), code-barre, etc... Et ce plus de 6 mois avant l’apparition de l’épidémie en Chine.

Le premier en France à avoir enfoncé la digue de la langue de bois à propos de l’origine du coronavirus fut bien entendu le Professeur Luc Montagnier. Célèbre immunologue, empêcheur de tourner en rond, Prix Nobel de médecine et codécouvreur du virus du sida. Lequel n’en était pas à son coup d’essai s’agissant de révélations sulfureuses. Le vieux professeur un brin narquois avait alors jeté un vent polaire en direct sur le plateau de Cnews. Interrogé par Pascal Praud sur l’origine du coronavirus, il avait en effet révélé une découverte stupéfiante de son équipe de recherche : le séquençage du génome du virus SARS-Cov-2 responsable du Covid-19 et son analyse par algorithmes informatiques avaient fourni la preuve irréfutable que ce virus ne pouvait être d’origine naturelle. En effet le génome du SARS-Cov-2, responsable du Covid-19, présente plusieurs « insertions » dont un petit fragment du génome du VIH, rétrovirus responsable du sida. De telles insertions ne peuvent avoir être réalisées qu’en laboratoire ; elles ne peuvent scientifiquement être le résultat d’une mutation ou d’une anomalie génétique d’origine naturelle liée à une quelconque transmission de l’animal à l’homme. Ce type de manipulations est d’ailleurs souvent réalisé par les chercheurs en génie génétique. Notamment dans l’espoir de mettre au point de nouveaux vaccins. Une technique employée depuis des décennies pour tenter de créer un vaccin efficace contre le VIH, en utilisant des composantes de virus courants type coronavirus, et en y insérant un fragment de l’enveloppe du VIH reconnus par les récepteurs des lymphocytes, de façon à produire une réponse immunitaire dirigée contre le VIH en cas d’infection, une fois ce vaccin injecté dans le corps humain.

Le Pr. Montagnier ne fut évidemment pas le seul à larguer une telle bombe. De nombreux scientifiques et équipes de recherche de renom avant et après lui ont également publié les résultats de leurs travaux dans des revues scientifiques mettant en avant les preuves de cette origine humaine du virus. Au point qu’elle apparaît aujourd’hui difficilement contestable. Même des médias officiels comme France l’ont d’ailleurs récemment évoqué comme une hypothèse plausible, levant un voile pudique sur les questions dérangeantes qu’elle soulève : pourquoi cette hypothèse n’a pas été évoquée avant ? Comment le virus a-t-il pu être disséminé depuis un laboratoire de recherche p4 situé à Wuhan : par accident ? Intentionnellement ? Et si oui à quelles fins ?... La France était-elle effectivement impliquée dans la gestion de ce laboratoire de Wuhan ? A quel titre ? Participait-elle aux recherches qui y étaient menées ? Se pourrait-il aussi qu’elle soit impliquée dans cet « accident ». Et pourquoi les autorités chinoises ou françaises n’en auraient-elles rien dit ?

Le spectre de Tchernobyl plane sur ce qui pourrait devenir le plus grand scandale sanitaire du 21e siècle, après le précédent quoi en a connus beaucoup.


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