La théorie de la transmission
« zoonose » du coronavirus (de l’animal à l’humain) est un classique de
la littérature scientifique s’agissant des nouvelles épidémies. Mais qui fait
rarement l’unanimité des chercheurs. Pour ce qui est du Covid, elle pourrait
venir s’ajouter aux œuvres de La Fontaine sous le titre d’une nouvelle fable
intitulée « Le pangolin, la chauve-souris et le petit Mandarin ».
Une farce tellement échevelée, digne des pires machins complotistes, que plus
aucun scientifique sérieux n’ose aujourd’hui l’évoquer, de peur de se
ridiculiser.
Plus personne en effet dans le milieu scientifique comme dans les médias ne se
risque depuis bientôt un an à évoquer le sujet et à spéculer sur l’origine de
ce virus mystérieux, pourtant observé sous toutes les coutures et disséqué en
menus morceaux depuis son apparition en Chine à l’été 2019. Un sujet devenu
très vite un tabou dans tous les médias mainstream, dès l’extension
« pandémique » du virus hors des frontières de la province de Wuhan fin
2019. Silence radio, mieux valait assommer le grand public de commentaires alarmistes
en diffusant en boucle les images de Wuhan en état de siège. Et ce bien que le
sujet soulève de nombreuses questions à propos de cette grippe dont la cause était
unanimement présentée comme un nouveau virus transmis à homme par un innocent
fourmiller dont la viande est couramment consommée en Chine. Une grippe présentant
dans ses formes les plus graves des symptômes respiratoires sévères et aussitôt
transformée en pandémie du siècle.
D’un coronavirus somme toute
banal, on est ainsi passé à un « paranovirus », dont le mode de
contamination n’était plus les mains mal lavées ou l’air ambiant (encore une
fable…) mais les médias entrés en éruption sismique. Un scénario de psychose mondiale
provoqué à dessein par quelques lobbies qui y avaient intérêt. Une reproduction
en grandeur XXL et en beaucoup plus dramatique de celui qu’on nous avait déjà
servi en 2009 lors de l’apparition d’un foyer de grippe H1N1 au Mexique. Un
virus qui avait immédiatement enflammé les esprits et les écrans plus que les
thermomètres, et ce durant près d’un an. Assurant au passage à Gilead Science
(déjà...) la vente très profitable aux gouvernements affolés de la planète de
milliards d’unités de vaccin et de Tamiflu, tous aussi inutiles, toxiques et inefficaces
que le remdésivir que le même labo a tenté de nous refourguer en 2020 en
corrompant au passage les plus grands scientifiques, les gouvernements, les agences
de santé et le Lancet, pour couler son principal concurrent l’hydroxychloroquine !
100 millions de doses de vaccin furent ainsi achetée en 2010 par le
gouvernement de Nicolas Sarkozy, lesquelles finirent quasiment toutes à la
poubelle, non sans avoir coûté au passage près d’un milliard d’euros au
contribuable français.
Même scénario avec le Covid-19 et les petits arrangements entre Macron et ses
généreux mécènes pharmaceutiques. Sauf que cette fois le jackpot a fait exploser
la banque, la dette de la France, plusieurs secteurs économiques, et la tête des
Français.
Mais revenons à la fable du pangolin...
Depuis 2019, les preuves se sont tellement accumulées pour étayer l’hypothèse
troublante d’un virus créé artificiellement par l’homme en laboratoire par
manipulations génétiques, que même les épidémiologistes et les
« experts » autoproclamés les plus corrompus habitués des plateaux télé
sont aujourd’hui à court d’arguments sérieux pour étayer la thèse initiale du
pangolin. Un pangolin qui figurait pourtant en bonne place sur la couverture du
magazine britannique (détenu par les Rothschild) The Economist, dont le très
attendu hors-série annuel consacré à l’année suivant mettait en scène fin 2018
et pour l’année 2019 un étrange pangolin glissé au milieu d’autres symboles tout
aussi étranges : fragment d’ADN, smartphone (5G), code-barre, etc... Et ce plus
de 6 mois avant l’apparition de l’épidémie en Chine.
Le premier en France à avoir enfoncé la digue de la langue de bois à propos de
l’origine du coronavirus fut bien entendu le Professeur Luc Montagnier. Célèbre
immunologue, empêcheur de tourner en rond, Prix Nobel de médecine et
codécouvreur du virus du sida. Lequel n’en était pas à son coup d’essai
s’agissant de révélations sulfureuses. Le vieux professeur un brin narquois
avait alors jeté un vent polaire en direct sur le plateau de Cnews. Interrogé
par Pascal Praud sur l’origine du coronavirus, il avait en effet révélé une
découverte stupéfiante de son équipe de recherche : le séquençage du
génome du virus SARS-Cov-2 responsable du Covid-19 et son analyse par
algorithmes informatiques avaient fourni la preuve irréfutable que ce virus ne
pouvait être d’origine naturelle. En effet le génome du SARS-Cov-2, responsable
du Covid-19, présente plusieurs « insertions » dont un petit fragment
du génome du VIH, rétrovirus responsable du sida. De telles insertions ne
peuvent avoir être réalisées qu’en laboratoire ; elles ne peuvent
scientifiquement être le résultat d’une mutation ou d’une anomalie génétique d’origine
naturelle liée à une quelconque transmission de l’animal à l’homme. Ce type de
manipulations est d’ailleurs souvent réalisé par les chercheurs en génie
génétique. Notamment dans l’espoir de mettre au point de nouveaux vaccins. Une
technique employée depuis des décennies pour tenter de créer un vaccin efficace
contre le VIH, en utilisant des composantes de virus courants type coronavirus,
et en y insérant un fragment de l’enveloppe du VIH reconnus par les récepteurs
des lymphocytes, de façon à produire une réponse immunitaire dirigée contre le
VIH en cas d’infection, une fois ce vaccin injecté dans le corps humain.
Le Pr. Montagnier ne fut évidemment pas le seul à larguer une telle bombe. De
nombreux scientifiques et équipes de recherche de renom avant et après lui ont également
publié les résultats de leurs travaux dans des revues scientifiques mettant en
avant les preuves de cette origine humaine du virus. Au point qu’elle apparaît
aujourd’hui difficilement contestable. Même des médias officiels comme France l’ont
d’ailleurs récemment évoqué comme une hypothèse plausible, levant un voile pudique
sur les questions dérangeantes qu’elle soulève : pourquoi cette hypothèse
n’a pas été évoquée avant ? Comment le virus a-t-il pu être disséminé depuis
un laboratoire de recherche p4 situé à Wuhan : par accident ?
Intentionnellement ? Et si oui à quelles fins ?... La France était-elle
effectivement impliquée dans la gestion de ce laboratoire de Wuhan ? A
quel titre ? Participait-elle aux recherches qui y étaient menées ? Se
pourrait-il aussi qu’elle soit impliquée dans cet « accident ». Et
pourquoi les autorités chinoises ou françaises n’en auraient-elles rien dit ?
Le spectre de Tchernobyl plane sur ce qui pourrait devenir le plus grand
scandale sanitaire du 21e siècle, après le précédent quoi en a connus
beaucoup.