« Nous sommes traités comme des prisonniers qui sont là pour exécuter un travail... », commente une employée d’Amazon.
Qu’est-ce que l’on ne ferait pas pour s’offrir le dernier Iphone.
Il faut quand même savoir ce que l’on veut : lutter contre les gaz à effet de serre et la déshumanisation par l’absence de contact avec les commerçants ou continuer à consommer en polluant. Parce que contrairement à ce qui est dit dans l’article, Amazon par son stockage et son mode de livraison, pollue énormément moins que les centres villes avec leurs enseignes électriques et les grands magasins (sans compter le chauffage).
D’autre part si Amazon devient aussi important, c’est par la nature propre et les origines de son fondateur (orphelin), qui n’a pas hésité à investir énormément au risque de tout perdre s’il se plante. Car avant Amazon, la livraison à domicile était une spécialité française (Manufrance, la Redoute, 3 suisses, Quelle, Damart). Ces entreprises françaises familiales ou intégrées à des grands groupes n’avaient qu’un objectif : amasser des dividendes. Maintenant elles regardent le train passer en espérant tenir quelques année de plus avant de disparaitre comme manufrance.
Il y a les gagnant et les perdants. Et le monde d’aujourd’hui ne fait plus de place pour les perdants