@karim
Merci de m’avoir répondu.
Voila ce que j’avais écrit dans mon article du 20 octobre 2017 : Pour rédiger mon texte, je me suis inspiré de plusieurs traductions que j’ai confrontées. Je suis très surpris des traductions existantes, d’une part à cause de leur diversité contradictoire, mais aussi et surtout parce qu’on y comprend absolument rien. Ce que je propose est une traduction logique.
En effet, si vous confrontez les diverses traductions que l’on donne de ces versets, vous devriez vous rendre compte qu’il existe entre elles des nuances comme avec celle que vous donnez, comme avec celle que je propose mais, pour la mienne, une logique de lecture qui n’existe pas pour les autres.
En fait, la seule liberté que j’ai prise est d’avoir mis le verset 32 en tête.
Mais le juge de paix est de confronter les dites traductions avec le texte de Tabari qui relate l’affaire, de la guerre du fossé jusqu’à l’écrasement des Juifs Beni Qoraïzha. Il faut vraiment être aveugle pour ne pas voir les correspondances, d’autant plus que les numéros des versets y sont indiqués. La seule différence est que dans Tabari, les biens pris aux Juifs sont partagés entre — je cite- « les musulmans, partisans du Prophète, compagnons, fantassins et cavaliers » (page 232) et que dans le Coran, du verset 28 à 32, s’ajoutent ou se précisent les « épouses » du Prophète.