@Séraphin Lampion
Dès que la participation devient une aide matérielle effective, le fait que la victime soit consentante ou même demandeuse n’exonère pas le complice d’une condamnation probable pour meurtre ou assassinat (article 221-1 à 5 du C.P.).
Un extrait de ce que j’ai lu dans ton lien.
Donc, ce n’est pas le cas en Suisse où le candidat au suicide peut bénéficier d’une assistance totale extrême en toute légalité..
Je suppose que légiférer permettrait d’euthanasier et de suicider autrui sans le risque d’être sous le coup d’une accusation de meurtre et assassinat de la part de la famille.
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« En effet, ajoute t-il, reconnaître à l’individu le droit de se suicider contribuerait à faire de lui un propriétaire libre de disposer de lui-même comme d’un bien ».
En fin de compte, je déduis que c’est bien le même slogan « mon corps m’appartient » , cher aux féministes pro avortement qui sous tend toute la « philosophie » et les revendications du « droit au suicide assisté » , l’euthanasie étant autre chose, en effet, elle existe naturellement si je puis encore employer cette expression dans notre époque actuelle où le naturel semble n’être plus qu’un terme de plus employé pour des considérations collectives, abstraites, normalisées , sans réalité.