Déjà, une chose est sûre, notre beau pays (ne m’appeler plus
jamais France !) est un pays de droite, tendance extrême droite
légèrement à la droite d’Hitler. Oh là ! Tout doux.
J’entends pousser des cris d’orfraies me dire on a eu la commune
frérot ! Oui c’est vrai les bourgeois ont tellement chiés
dans leur froc de la liberté qu’ils ont envoyés Thiers faire le
ménage bilan : la semaine sanglante aura essuyé plus de 20 000
morts côté communards.
C’est vrai aussi, que
nous avons eu Blum. 2 ans en tout et pour tout.
Puis nous avons eu
Miterrand issu de l’extrême droite des croix de feu.
Jospin aura tenté
une belle envolée de 1997-2002 avant de se ramasser sur le pavé
comme une vulgaire merde.
Vous pouvez chercher dans vos archives tous les autres sont de droite, des
rois jusque louis XVI et maintenant une droite à qui il ne manque
que la couronne sur la tête. En somme une république monarchique.
Les jeunes ne votent
pas, les vieux votent à droite, ils restent à convaincre la
génération de l’entre deux.
Ceux là ont connus
le 21 avril 2002, le 29 mai 2005, le 7 mai 2012 et pour finir le 7
mai 2017.
Tous ces monarques
se sont royalement essuyés les pieds sur le dos du peuple.
Comme les
journalistes ont bien nettoyé les partis de gauche allant jusqu’à
comparer méluche à un parti d’extrême gauche. Franchement,
c’est à crever de rire.
Parfois on se
demande comment ces journalistes sont arrivés jusque là. ? Ils
ont du payer. Bref…Ce sont des journalistes de bouquins de cul
recyclés sur les chaînes d’infos pour meubler le décor.
Remarquez, les
électeurs sont tellement blasés de ces charlatans carriéristes qui
iront pantoufler dans des boîtes privées ou faire des colloques rémunérés grassement une fois sorti de l’élysée ou des
ministères, qu’à la longue même les électeurs de gauche se
tournent vers l’extrême droite dans l’espoir de faire barrage à
la droite.
Seulement voilà, que les
électeurs votent LR, LREM, RN, UDI et d’autres SE tous ces partis
s’entendent copains comme cochons.
Quand ils se croisent dans les
couloirs feutrés des assemblées ils se claquent la bise, picolent
ensemble, bouffent des homards...
En somme, c’est
comme mon cul, ma chemise. de toute façon tous défendent le grand
capital et leur pré carré.
En analysant cette situation ubuesque, les électeurs ont tout de suite envie d’aller voter.