Merci pour cet article qui rappelle le rôle hypnotique des écrans quels qu’ils soient, bien sûr agrémenté du son !
Cela rappelle aussi le rôle des religions dans la diffusion de leurs croyances, notamment via les vitraux des églises, accompagnés de chants quasi monocordes ou d’injonctions expiatoires propres à tenir dans la honte du péché son public en attendant la rédemption du Sauveur.
Le triangle dramatique ou de Karpman, évoqué à la fin de l’article et dont les sommets (victime, bourreau, sauveur) constituent en réalité l’universalité des jeux humains. Ce triangle dramatique, connu depuis la nuit des temps, est à la base, le socle du théâtre, mais aussi des contes, histoires, romans, etc... A lui seul, ce triangle mériterait d’être une introduction à cet article.
Il s’applique parfaitement à la situation politique du covidisme parce que les jeux du covidisme a des bénéfices pour chacun des acteurs.
Tant que les jeux sont possibles le triangle subsiste et ses jeux de rôles avec. Mais, si l’un des acteurs refuse de jouer, le triangle disparaît et la lutte entre les deux derniers protagonistes apparaît. Pourquoi ? Parce que les joueurs peuvent se liguer contre l’un d’eux. Généralement, c’est la fin du jeu car il n’y plus de bénéfice, mais ça peut prendre du temps...