@ETTORE
mes ascendants ont fait toutes les guerres contre les allemands ... mon père était sous marinier évadé de Toulon en 1942 sur le Casabianca ... ma mère faisait de petits boulots pour la résistance ... je n’ai jamais fait de guerre mais je ne serai jamais du côté des cons, des fachos (souvent les mêmes) ou des envahisseurs !

Nono, voilà des convictions qui vous honorent !

Mais, dans le cas présent, en dehors de toute prise de tête avec des personnes, qui au mieux, ne font que défendre « une résistance » somme toute passive....

Comment pouvez vous juger ce parti pris que vous engagez à chaque discussion ?

(je le reconnais volontier, plus retenu que certains gestapistes sur le retour, genre Pierrot@)

Vous parlez de guerres ( que je n’ai pas faites non plus), mais nous connaissons tous, les ou la, conviction profonde qui animait les « résistants ». Retrouver la liberté, sans compromis, retrouver le Pays LIBRE de ses envahisseurs, les bouter hors de mère patrie, le pied au cul , et menottes aux poignets !

Il y a une chose qu’il faut bien se dire, depuis l’aube des temps, de la massue en bois, jusqu’aux orgues de Staline, la GUERRE, cela a toujours été, sang et boue, atrocités saignantes, déshumanisation profonde, la démonstration/création la plus crade de « l’Homme » !

Et je ne vous apprend rien !

Nous sommes passés par Hiroshima et Nagasaki.....Là, nous avons franchi un cap essentiel de l’évolution de la guerre, niveau saloperie à grande échelle, on a fait très large et très fort.

Partant de ce constat, pourquoi ne pas admettre, qu’actuellement , les vues de certains « psychopathes », et ces derniers sont, non seulement sans foi, ni loi, mais aussi, sans toit, car ils ne se revendiquent d’aucun pays, d’aucune religion, d’aucune morale, d’aucune foi, mais d’une seule idéologie, qu’ils jouent en coeur comme une partition avec ses portées bien écrites, jouée par un orchestre symphonique ( pas en nombre d’instruments, mais en nombre de choristes et d’organisation puissantes) 

Le nom de l’oeuvre musicale que vous entendez de façon lancinante :

l’Ode au Pognon !

Le règne et la puissance par le pognon ! Le pognon, le pognon, le pognon !

Et peu importe qu’elles victimes meurent sous ces balles silencieuses, elles ne sont pas alignées contre un mur, non, on les soigne dans des hôpitaux où tout est repeint, camouflé de faux sentiments.

Les soins, par manque d’infrastructures, et d’interdiction de médicaments !

Les personnels, crevés jusqu’à l’os, et qui ne continuent que parce que les plus humbles ont la foi chevillé au corps

Les autres, les pontif-icaux professeurs, avisés de tous bords, mais surtout des plateaux télé, ce sont ceux qui surveillent les troupes d’assaut lancées hors des tranchées, le coup de fusil rapide et préventif à chaque affaiblissement face aux barbelés de l’opinion !

Les« généraux », réfugies au fond de leur bunker, n’osant sortir, de peur de se faire cracher au visage, leurs vrais noms « lâches, corrompus, traitres, vendus »

Ils comparaissent en « responsabilité » devant un prompteur qui leur apprend des mots de haine, qu’ils ne font que répéter, avec la peur au ventre, qu’une contre offensive, ne les fassent passer de vie politichienne à trépas.

Voilà, comment est déguisée cette guerre, par la voix égosiléééééée du

« guéééérier trééééépidant » qui au lieu de prendre la tête du pays, l’enfonce encore plus dans la mort et la boue, juste pour qu’elle serve de marche, aux souliers vernis de se commanditaires !