Merci à l’auteur pour le partage.
Que voila un bon rappel historique du crime contre l’humanité, commis quasi quotidiennement et depuis plus de 70 ans, par les inventeurs du terrorisme moderne, avec la complicité active et passive d’un occident manifestement inguérissable de son herpes colonialiste.
Car il faut nommer chat un chat, c’est bien l’histoire d’une colonisation dont il s’agit, la dernière de l’Histoire et, en sa qualité d’algérien, le Pr C. Chitour est bien placé pour l’analyser et savoir que tout a une fin.
La situation que subit actuellement l’ultime apartheid colonial n’a pas de précédent historique connu.
En effet, n’ayant aucune profondeur stratégique faute d’avoir pu
l’établir, malgré la destruction de toutes les nations voisines refusant
de le reconnaitre, devant sans cesse affronter de multiples résistances
et étant dirigé par de stupides « politichiens » dont la corruption le dispute au fascisme, à l’instar d’autres pays occidentaux dont l’état $ionnard n’est, somme toute, que la tête de pont dans la région, ladite colonie a de plus en plus de difficultés a mener un couteux et usant combat, contre des forces se coordonnant et maitrisant l’engagement asymétriques, renouvelant sans cesse leurs tactiques, stratégies et de mieux en mieux équipés, malgré, pour les palestiniens, le féroce blocus terrestre et naval de Gaza.
Avec le recul, il apparait que les surprenants déboires infligés par le Hezbollah à la prétendue IDF en 2006, ont été le signal d’un changement d’époque et, depuis lors, l’odeur de fin d’un règne hégémonique flotte sur le proche et moyen orient.
Nul ne pouvant être et avoir été,
les jours de l’apartheid $ionnard sont désormais comptés, car, de même,
nul ne peut violer indéfiniment le droit international sans en payer le
prix à terme et, de plus en plus, la perspective de l’état unique pour tous fait parler d’elle et fait son chemin, la solution des deux états étant morte née, avortée par, divine ironie, les $ionnards eux mêmes !
Serait il donc vrai que Jupiter(ou le dieu qui vous plaira !) commence par rendre fous ceux qu’il veut perdre ?. . .