Commentaire de Bertrand Loubard
sur Briefe von Deutschland (Lettres d'Allemagne), 1 : Olivia
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@Pierre Chazal
Evoquer Bertrand Tavernier me permet de souligner l’art avec lequel ce grand cinéaste a mis en scène son approche des aspects de la confusion entre le pouvoir (qui asservit) et l’autorité (qui unifie). Les points d’interrogation, les points de suspension qui terminent ses films sont évidemment très angoissants, prémonitoires et des chefs d’œuvre du « non-dit ». Très à propos dans la situation actuelle. Bien à vous.
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