@Michel DROUET
Réforme territoriale proposée par l’UPR : une réduction drastique du « millefeuille » administratif par la suppression de 4 209 postes d’élus,
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Réduction du nombre de députés de 577 à 500, soit 1 pour 130 000
habitants comme en Allemagne, ce qui équivaut à la suppression de 77
postes de députés (et des attachés parlementaires qui vont avec).
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Suppression des 74 députés européens. Par la sortie de la France de l’Union européenne.
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Réduction du nombre de sénateurs de 348 à 101, soit 1 par département
(à comparer à 100 sénateurs aux États-Unis pour 325 millions
d’habitants et 69 en Allemagne pour 83 millions d’habitants), ce qui
équivaut à la suppression de 247 postes de sénateurs (et des attachés
parlementaires qui vont avec).
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Retour aux 22 Régions de France métropolitaine d’avant la réforme
Hollande et leur réduction au rang d’établissements publics régionaux
comme avant la réforme Defferre de 1982, soit la suppression des 1 757
postes de conseillers régionaux.
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Division par 2 du nombre de conseillers départementaux, soit la suppression de 2 054 postes de conseillers départementaux.
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Maintien des 35 885 maires et l’arrêt des regroupements forcés de communes
Des économies formidables pour alléger les charges et impôts de l’ordre de 78,7 milliards d’euros par an
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Économies budgétaires résultant de la réduction du millefeuille
administratif : 6,4 milliards d’euros par an. Économies sur le nombre de
députés nationaux : 38 millions d’euros par an.
Économies sur le nombre de députés européens : 45 millions d’euros par an.
Économies sur le nombre de sénateurs : 131 millions d’euros par an.
Économies sur le nombre de conseillers régionaux : 75 millions d’euros par an.
Économies sur le nombre de conseillers départementaux : 62 millions d’euros par an.
Économies sur le périmètre de la région (avant 1982) : 6 milliards d’euros par an.etc etc