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Commentaire de Attila

sur En Juin, on vote pour quoi, on vote pour qui ?


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Attila Attila 22 mai 2021 12:41

@Captain Marlo, réponse à ce message.
Encore une fois tu refuse d’écouter les militants de terrain, ceux qui, contrairement à toi, se sont tapés tout le boulot ingrat pour que François Asselineau puisse se présenter à la présidentielle avec ses 500 signatures.
1— « Silence radio, aucun responsable n’a informé qui que ce soit, de quelque problème que ce soit. On se demande bien pourquoi ? »
Ben oui, c’est le reproche qui leur est fait par les militants de terrain : l’opacité. Et le Bureau National choisi par FA n’était pas informé de grand-chose non plus.
2—« Quand on n’est plus d’accord avec un Parti politique, on rend sa carte et on va planter ses choux ailleurs. On n’organise pas un putsch pour être calife à la place du calife.  »
Si tu avais écouté les militants de la vidéo que je cite, tu saurais que de nombreux cadres sont partis après avoir découvert les dysfonctionnements de la direction. Ils étaient très vites remplacés car il y avait une bonne base militante derrière et François Asselineau, visiblement, comptait là-dessus. Mais en 2020, cette base militante a découvert le comportement de FA vis-à-vis d’eux et, écœurés, ils sont presque tous partis d’un coup. Il n’y a plus personne pour les remplacer : mal joué, François !
Les délégués et militants départementaux n’ont organisé aucun poutche, ils ne font même pas partie des signataires et n’étaient au courant de rien jusque là. Les « signataires », une trentaine de personnes autour du Bureau National, ont paniqué à l’idée de se voir impliqué judiciairement dans les affaires de harcèlement et ont cherché à se couvrir. Il n’y a pas de poutche, c’est ce que disent les délégués départementaux. Ce délire sur un poutche est la réponse de FA à une demande d’explication, certes maladroite : une sorte de fin de non recevoir.
3 Oh, la malhonnêteté intellectuelle : il y avait encore des mesures de confinement, surtout l’interdiction de se déplacer à plus de 100 kilomètres et la plupart des membres du Bureau n’ont pas pu y aller. Vincent Brousseau et C-H Gallois étaient coincés à l’étranger. Ultime machiavélisme de François Asselineau : il a refusé la vidéoconférence pour ceux qui ne pouvaient pas venir.
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Plus je met le lien, plus il y a de lecteurs qui regardent cette vidéo et peuvent vérifier si je dis des sonneries :

Crise à l’UPR : à qui la faute ?

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