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la suite
Une étude de 2010 avait conclu que 1 à
13 % seulement des effets indésirables graves des vaccins étaient notifiés aux
autorités[15].
Donc la plupart des morts après
vaccination ne sont jamais enregistrées nulle part !
La preuve, avec ce qui est arrivé à
Laetitia, 23 ans.
C’est le journaliste Yves Rasir, qui a
raconté son histoire, dans une excellente infolettre[16].
Je la cite ici en quasi-intégralité, car
cette affaire est emblématique :
Un cas d’école : une joggeuse noyée dans
son sang – par Yves Rasir
« Laetitia était une étudiante française
de 23 ans accomplissant ses études dans la bonne ville wallonne de Liège.
Le 2 mai dernier, cette jeune fille a
voulu profiter des premiers « assouplissements » du confinement et elle a
participé à une course à pied de 15 km dans un parc de la Cité Ardente.
Quelques mètres après la ligne d’arrivée, elle s’est écroulée inanimée et les
sauveteurs n’ont pas réussi à relancer son cœur.
Le drame a été relaté dans cet article
de la presse locale. Par le plus grand des hasards, il se trouve que
l’organisateur de ce jogging populaire n’est autre qu’un de mes amis
journalistes, Gilles Goetghebuer, rédacteur en chef des magazines Zatopek et
Sport & Vie. Il se trouve aussi que Gilles est le capitaine de mon équipe
de foot et que, dans un message ému au groupe, il nous a raconté l’événement
choquant auquel il avait assisté aux premières loges puisque Laetitia a
quasiment expiré dans ses bras.
Deux détails ne figurant pas dans le
journal m’ont immédiatement fait sursauter : d’abord la jeune Française
terminait des études d’infirmière, et ensuite son « arrêt cardiaque » n’était
pas un infarctus. La vraie cause de sa mort est une « dissection aortique »,
autrement dit une déchirure de la grosse artère quittant le cœur et traversant
le thorax. Comme Gilles en a été le témoin éclaboussé, la malheureuse joggeuse
s’est littéralement noyée dans son sang et le défibrillateur n’a été d’aucun
secours.
Une infirmière ? Une dissection aortique
? Vérification faite sur le site d’Eudravigilance, cette urgence médicale a été
rapportée 11 fois en Europe après l’administration du seul vaccin Pfizer. Et
pour 10 de ces cas, la victime était un « professionnel de santé ». Deux cas
mortels ont été recensés en France, comme en atteste cette publication de
l’ANSM.
Ayant découvert cette relation
éventuelle, j’ai demandé à Gilles si Laetitia, qui faisait des stages en
hôpital, avait déjà été vaccinée contre le covid comme beaucoup de soignants.
Renseignements pris auprès de son frère, elle avait effectivement accepté le
vaccin et elle avait reçu sa deuxième dose du Pfizer un mois avant le jogging
fatidique. C’est ce que la médecine vaccinaliste appelle une « coïncidence
temporelle » mais dont on peut sérieusement mettre en doute le caractère
fortuit si l’on possède un minimum d’honnêteté intellectuelle.