Commentaire de Séraphin Lampion
sur Aux origines du syndicalisme enseignant
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« Au début du siècle dernier, plusieurs centaines d’institutrices et d’instituteurs se sont constitués en syndicats, demandant leur rattachement aux bourses du travail, c’est à dire à la CGT. »
La suite de ce texte n’explique pas pourquoi ce rattachement n’a jamais été effectué, ce qui a, de facto, abouti à une forme de syndicalisme corporatiste et catégoriel. C’est d’autant plus regrettable que, contrairement à la majorité des autres pays industrialisés, le syndicalisme en France était fédéré et confédéré. Cette caractéristique n’explique certainement pas à elle-seule la dérive de la vie syndicale vers un système de clientélisme et d’assurance sociale, mais c’est un élément.
Derniers commentaires
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02/06 11:39 - Jean J. MOUROT
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02/06 07:40 - mmbbb
@Furax Bonne analyse et désormais leurs mômes ont des emplois unbérisés . Il es aussi à (...)
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01/06 22:14 - troletbuse
@C BARRATIER Alors la, franchement, ce qu’à fait une socialope, on s’en (...)
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01/06 22:11 - C BARRATIER
J’ai pour ma part dans les années 50 été syndiqué au SNI, je lisais l’Ecole (...)
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01/06 16:12 - Jean de Beauce
Coût d’une cotisation syndicale pour un enseignant au 9ème échelon : 230 euros pour une (...)
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01/06 16:09 - Jean de Beauce
De nos jours les syndicats enseignants encadrent (et recadrent) les profs mais ils ne les (...)
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