@Eric F
Certains statuts liés aux conventions droit-de-l’hommistes constituent des filons d’immigration : les « mineurs non accompagnés » et les « demandeurs d’asile ».
Les premiers ne sont pas refoulables quoiqu’il arrive, les seconds se
voient à 80% refuser l’attribution du droit d’asile, mais étant sur
place, seul quelques pourcents sont renvoyés dans le pays d’origine
(souvent non établi avec certitude). Dès lors que le concept de
« réfugiés climatiques » a été introduit, la source potentielle est
intarissable.
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Le MNA sont une nouvelle filière d’immigration qui est la cause d’un délinquance continue. La plupart sont des faux mineurs qu’il faudrait renvoyer chez eux immédiatement. Ces mineurs est une mine d’or pour les trafiquants humains, car ils sont le cheval de Troie d’in immigration incontrôlable, car ces mineurs auront le droit de faire venir leur famille.
Il coutent une fortune, 50000 euros par tête de pipe.
On ne peut recevoir plus d’immigrés qu’on ne peut intégrer . le seuil de saturation est largement dépassé.
Institut
Montaigne. Le scandale des Mineurs étrangers non accompagnés.
Si
le phénomène n’est pas nouveau, il a crû ces dernières années
« de manière spectaculaire » pour reprendre les termes
du Sénat1, au point d’être très identifié dans les territoires à
la fois par les élus et, désormais, l’opinion. Au 31 décembre
2019, la France prenait en charge, via l’aide sociale à l’enfance
(ASE), près de
40 000 « mineurs non accompagnés » (MNA),
selon les chiffres de l’Assemblée des départements de
France (ADF), et non 16 000 comme certains l’affirment parfois2.
En 2012, ils étaient à peine un millier.
Et
le phénomène continue de prendre de l’ampleur. Sur l’ensemble
de l’année 2020, 40 000 personnes étrangères se présentant comme
mineures devraient avoir sollicité le statut de MNA. Sur ces 40 000,
la moitié environ devrait être intégrée au dispositif de l’ASE,
soit directement par les services du département, soit par le juge
après un recours introduit par les candidats recalés, ce qui fait
un total de 20 000 personnes.
Le
coût total pour la collectivité en 2019 s’élevait à deux
milliards d’euros (à la charge des départements qui reçoivent
une compensation de l’État pour une partie de ces dépenses) contre
50 millions en 2012. Ce
chiffre pourrait atteindre 2,5 milliards d’euros en 2020 et, si la
dynamique actuelle n’était pas contrariée, trois milliards d’euros
en 2021.