Échappé d’un labo, issu d’un pangolin, trafiqué par des trafiquants de virus... l’origine du coronatruc, il vaudrait mieux s’en foutre, vu que les virus n’ont pas attendu les hommes pour naître et vivre leur vie de virus.

Si culpabilité chinoise il y a, il faudra la chercher dans le démonstratif de la narration, parce que nos petits journaleux s’y sont quand même bien laissé prendre, pire que des moucherons sous une bouse géante...

• Primo, observer — presque par hasard — le gros point faible de la presse occidentale lors de la couverture médiatique de la grippe H1N1 de 2009. Ce très gros point faible, c’est la course à l’audimat : surenchères, images choc, trémolos dans la voix, etc... le tout suivi par une surréaction des autorités occidentales, avec achats de tonnes de vaccins, création de vaccinodromes, etc... (déjà, à l’époque, Hu Jintao et tout le PCC ont dû bien rigoler, et surtout, commencer à avoir quelques bonnes idées de blagounettes à faire à ces prétentieux occidentaux donneurs de leçons et soi-disant démocratiques... !)
• Secundo, mettre en scène l’habituelle épidémie de grippe annuelle, en copiant les scénarios concoctés pas ces occidentaux qui s’amusent à se faire peur à longueur d’année pour se donner de l’importance.
• Attendre de pied ferme la fameuse couverture médiatique des occidentaux-qui-s’ennuient-chez-eux, et laisser fuiter la possible création du virus d’un laboratoire classé...
• Confiner la ville puis toute la région de ce laboratoire, de sorte que les petits journaleux et tout l’occident derrière eux, se laisse enfumer dans les grandes largeurs...
• Exhorter les autorités étrangères à ne pas pratiquer d’autopsie sur les premiers morts de la grippe, et leur conseiller de confiner leurs populations...
• Garder cette blagounette au secret au sein du PCC, et en rigoler pour les siècles des siècles — hi hi hi hi hi ! — à s’en tenir les côtes — hi hi hi hi hi — et à s’en décrocher les mâchoires — hi hi hi hi hi !