J’ai voté « intéressant » pour cet article.
Mais ceci remet en scène l’éternel bras de fer entre le pouvoir et le contre pouvoir qui est celui de l’information.
C’est une vieille histoire que l’Histoire a mainte fois démontrée : le Pouvoir n’apprécie pas du tout voir le bon peuple sanctionner ses turpitudes.
Mais en l’occurrence, dans cette affaire Clear Stream, je pense qu’il y a tellement de manipulations à double (triple ?) détente que si Grand Manipulateur il y a, celui-ci devrait bien regarder ses lacets de chaussures...
Mais enfin, je me demande quand même, qui se moque de qui ? Car il y a dans les geôles de la République un personnage que tout le monde médiatique fait semblant d’avoir oublié, mais qui n’aurait pas besoin de décodeur de listings informatiques pour révéler les noms de ceux qui ont (ou pas) bénéficié des largesses sonnantes et (surtout) « trébuchantes » issues des rétro commissions des ventes de matériels à des (nombreux) pays étrangers.
C’est à ce niveau de l’affaire que je m’interroge : Sirven ? Personne ne connaît ! L’instruction en cours ? Ici pas de « fuites » ! Là, le « secret de l’instruction » est bien gardé...
Mais surtout, pas un mot sur cet aspect de l’affaire de la part de la gente médiatique, je fais ici allusion aux dix ou quinze journalistes qui « font » l’opinion chaque matin : connivence ?
Pour revenir au sujet de l’article, je pense que la déontologie du journaliste, comme celle de l’homme politique, sera à géométrie variable suivant les circonstances.