@Michel DROUET
vous avez tout mélangé pour arriver à 78.7 Milliards....
Vous ne savez pas lire quand ça vous arrange....
"— Économies budgétaires résultant de la réduction du millefeuille
administratif : 6,4 milliards d’euros par an.
— Économies sur le nombre de
députés nationaux : 38 millions d’euros par an.
— Économies sur le nombre de députés européens : 45 millions d’euros par an.
— Économies sur le nombre de sénateurs : 131 millions d’euros par an.
— Économies sur le nombre de conseillers régionaux : 75 millions d’euros par an.
— Économies sur le nombre de conseillers départementaux : 62 millions d’euros par an.
— Économies sur le périmètre de la région (avant 1982) 6 milliards d’euros par an.
— Économies budgétaires résultant de la sortie de l’UE : 13,6 milliards
d’euros budgétaires par an. Économies directes : 9 milliards d’euros
par an de déficit fiscal budgétaire (chaque année, la France contribue
pour 23 milliards d’euros au budget européen, et s’en voit restituer
14).
— Économies sur les cofinancements et les condamnations pécuniaires : 4,6 milliards d’euros par an.
— Recettes budgétaires supplémentaires résultant du rétablissement du
contrôle des mouvements de capitaux : 20 milliards d’euros par an. Lutte
contre la fraude fiscale : 20 milliards d’euros par an (récupérés sur
un total de fraude fiscale estimée entre 60 et 80 milliards d’euros par
an), ce qui sera possible grâce à la sortie de l’UE et au contrôle des
mouvements de capitaux, seul outil efficace dans cette lutte.
— Économies indirectes pour l’économie française résultant de
l’allégement des réglementations et contraintes européennes sur les
administrations publiques et les entreprises : estimées à environ 38,7
milliards d’euros par an. Économies indirectes sur le coût d’application
des normes européennes pour les administrations publiques : 8,7
milliards d’euros par an.
— Économies indirectes sur le coût d’application des normes européennes pour les entreprises : 30 milliards d’euros par an."