@chantecler C’est le plus long rêve raconté par un surréaliste belge : FRANZ HELLENS. Peu de personnes ont compris que les surréalités écrivaient ou représentaient leu rêve.....Voici. Si Louis Malle était encore en vie, j’aurais aime qu’il en fasse un film...Résumé :
Sous une nuit étoilée, en plein Sahara, surgit soudain une cathédrale en pierres translucides dont le narrateur entreprend l’ascension en compagnie d’une femme légère comme l’air et vêtue d’une robe translucide : Mélusine. Il s’efforce de suivre les traces de cette fée jusqu’au cœur de la vie moderne, où leurs pas croiseront ceux de Charlot et de Merlin.
À PROPOS DE L’AUTEURFranz HellensAuteur de
Mélusine ou La robe de saphirFranz Hellens est le pseudonyme de Frédéric van Ermengen. Élevé à Gand, Hellens trouve dans cette ville sa première inspiration (En ville morte, 1905), traduite à la manière de ses aînés (Les Hors-le-vent, 1909). Si Les Clartés latentes (1912) amorcent une évolution vers un art plus attique, c’est cependant un long séjour méditerranéen qui ouvre pour lui une nouvelle ère, marquée par la féerie fantastique de Mélusine (1920), et par Le Disque vert, revue moderniste. L’œuvre, abondante et protéiforme, explore la zone indécise qui, dans les esprits et dans les choses, sépare la réalité et le fantastique (Réalités fantastiques, 1923) ; ce thème continuera à inspirer l’ essayiste, à qui on doit, à côté d’une Poétique des éléments et des mythes (1966), une réflexion sur Le Fantastique réel (1967). Dialectique qui nous vaut des tentations réalistes (La Femme partagée, 1929) aussi bien que des ouvertures symbolistes (Mémoires d’Elseneur, 1954) ou les cruautés cérébrales de Moreldieu (1946).