@Fergus
Salut Fergus, j’ai pensé à vous en lisant cet article sur les aveux d’Éliane Houlette au sujet de l’éviction express de Fillon de la scène politique. Elle était procureur du Parquet National Financier.
A l’époque, vous et les blogueurs de la France Insoumise, ravis de l’éviction du candidat LR, n’avait pas eu de mots assez durs contre Fillon. Toute cette histoire sentait la magouille politicienne et j’avais essayé de mettre en garde ces militants zélés. Il a fallu les perquisitions chez Mélenchon et au siège de la FI pour refroidir votre zèle....
Une Justice à deux vitesses, c’est une Justice politique.
(...) Le caractère exceptionnellement fulgurant à ce moment-là, à un rythme
que je n’ai JAMAIS VU en 48 ans de carrière, à partir, non d’un
réquisitoire, d’une plainte, ou d’un signalement article 40, mais d’un
article de journal opportunément publié à quelques semaines du scrutin (...)
"Dans une démocratie normale, c’est le juge du fond après un débat contradictoire dans le respect des règles
qui peut décider d’infliger la peine complémentaire d’inéligibilité. En
revanche, Laurent Joffrin ne voit aucun inconvénient à ce que l’affaire
Arif qui jetait un drôle d’éclairage sur les conditions financières de
la campagne de Hollande en 2012, dorme paisiblement du sommeil de
l’injuste depuis plus de six ans, celle de Ferrand depuis trois ans.
Benalla bien sûr, El Guerraj et toutes les autres quand, d’enlisements
en classements sans suite, on épargne soigneusement la macronie. Il n’a
aucun souci quand la procédure jumelle contre le ministre socialiste de
l’intérieur de Hollande, Bruno Le Roux à qui l’on reprochait les mêmes
faits qu’à Fillon, est silencieusement encalminée depuis plus de trois
ans....
— Affaire Arif.
— Affaire Ferrand
— Affaire Bruno Le Roux