@tashrin
« Mon raisonnement », que je propose nôtre c’est de dire que nos corps son notre affaire en subsidiarité locale, proximale, de décision collective entre personnes objectivement solidaires, pas abstraitement légiférantes (engage les conseilleurs qui y sont les payeurs si vous voulez, ceux qui assument leurs options corporellement, solidairement). En ce sens je connais un jeune homme qui veux se prendre pour une femme (dysphorie de genre). Notre réponse est claire mais socialement difficile : si tu veux te la jouer femme, socialement, en surface, rien à dire, mais nous qui t’avons connu enfant garçon, tu le restera quoi que tu fasse, tu restera un « lui ». Le genre se lit dans le regard d’autrui, pas dans son slip !. Le vaccin, lui, s’accepte ou se rejete selon le contexte collectif subsidiaire de sa communauté solidaire : s’il cette bulle locale cognitive à une image reflexive d’elle-même autonome, elle refusera un faux-vaccin hétéronome douteux, mais si elle n’a pas de critères explicite d’elle-même, elle va suivre l’instance qui la domine. C’est tout. C’est ce qui se passe.
Sur l’IVG, réponse imparfaite à un impératif conjoncturel historique réel, dire qu’il n’est pas aujourd’hui imposé est une hypocrisie, comme dire que le pseudo-vaccin n’est pas obligatoire alors qu’il est tendanciellement
indirectement prescrit, caché derrière un faux « c’est mon corps, c’est mon choix ». Le choix individuel, çà n’existe pas ! C’est toujours un colloque.