Voilà ce qui s’est passé…(et au revoir Monsieur Bayrou)
Je vais vous dire ce qui s’est probablement passé. Martin Blachier s’est laissé convaincre pas ses amis des labos qu’une grande vague allait nous submerger. Les personnes qui lui ont glissé dans l’oreille se scénario étant elles-mêmes conditionnées par leur entreprise à le penser.
Martin Blachier alors, voulant corriger sa bévue du début de la pandémie (il avait annoncé une vaguelette et ce fut une hécatombe) — il l’a lui-même reconnu avec honnêteté ensuite — voulant se refaire un réputation disais-je donc, s’est empressé d’aller porter l’annonce sur les plateaux de télévision.
Quelle fut la conséquence ? Une propagation rapide de la peur parmi les journalistes et les gouvernants. Chacun y allant de son couplet sur la vague énorme qui allait provoquer des morts en pagaille à cause du variant delta (qui pourtant ne tue pas davantage que ses prédécesseurs).
Qu’en est-il aujourd’hui ? Des virologues et des professeurs plus clairvoyants, tel le professeur Fontanet hier soir, parle d’une petite vague. Cette vague modérée fera certes des morts chez les vieux (principalement les non vaccinés ou insuffisamment vaccinés) et chez les personnes à risque ayant négligé les gestes barrières ou de se faire vacciner.
Bref, tout ça pour à çà ! La timbale revient à François Bayrou qui, oubliant que nous vivons dans un pays de démocratie, d’état de droit et des droits de l’homme, veut imposer la vaccination obligatoire pour tous ! Argument ? Son ressenti. En effet, monsieur Bayrou ressent une crainte — infondée — que les enfants pourraient être touchés par le mal. Puisque que Monsieur Bayrou a une crainte, nous devons tous nous plier sans délai à sa vision et céder à la suppression de nos droits les plus élémentaires. Bravo monsieur Bayrou et au revoir !
A présent, je compte sur Emmanuel Macron, le seul qui s’est montré capable de réfléchir et de décider avec sang froid et prudence.